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The Siam Renaissance

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2 critiques: 2.62/5

visiteurnote
doma 3
Bastian Meiresonne 2.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

moyen

d'aprés un encart de kumité il ont pas trop aimer.sa ma intriguer. donc je l'ai pris vue qu'il y a une partie en français a peux prés 15 mn voila mon impression a chaud : moyen de plusieurs choses le film a couter 100 millions de baths sa représente le deuxiéme plus gros budjet du cinema thai d'aprés les dire de kumité . et bien on se pose la question vue la version courte du film.se siam renaissance recele pourtant quelque scenes avec une certaine poesie.surtourt au début du metrage,lhistoire aurait pu étre interéssante si le montage na pas été charcutée.de plus le scénario présente la personage principale joué par florence vanida(marie-ange)-(manee) dans deux époques le 20 et 19 ieme siecle doublée d'une recherche historique intéréssante mais raté par une représentation des français et les anglais d' une façon caricaturale et de sucroit mal joué.domage d'étre gaché par une realisation manqué.le vcd contien un entretien du réalisateur et du producteur + des scénes inedites don une est interesante la scene d'adieu de l' anglaise et sont fils evec marie-ange manee.

05 octobre 2004
par doma


Eiffel Power

Surapong Pinitka signe une ambitieuse et très coûteuse libre adaptation (près d'un million de dollars) du fameux roman thaïlandais "Tawipop" de Tommayanti. L'étonnante reconstitution historique du royaume de Siam du XIXe siècle est en fait une sorte de roman d'anticipation / science-fiction, une jeune femme étant soumise à d'incessants voyages dans le passé et au présent malgré elle. Là réside sans doute le seul point positif de toute l'entreprise, ces déplacements étant souvent introduits de manière soignés et surprenants, comme le fait de sortir d'une pièce pour se retrouver au milieu d'une place de village avant de revenir au salon au présent. Les incursions au passé sont d'une incroyable flamboyance visuelle, tournées dans de superbes décors naturels de l'ancien royaume, employant de nombreux figurants dans de magnifiques costumes. Cette apparente opulence - en grande partie due à l'important budget - ne peut malheureusement cacher la fragilité d'un confus scénario et l'horripilante interprétation des acteurs. Non seulement l'histoire est touffue et inutilement alambiquée, mais son tiraillement entre différents genres et son option finale de verser dans une classique histoire de romance totalement inutile font vite décrocher de cette trop longue fresque. Quant aux acteurs, ils sont tout simplement figés dans leur jeu amateur et cabotinent de manière exagérée - la palme d'or revenant aux nombreux interprètes caucasiens. Dans le rôle principal, l'actrice franco-thaïlandaise Florence Vanida n'a que sa beauté pour elle - et l'humour involontaire de son - apparemment - accent à couper au couteau, ayant appris la langue thaïe spécialement pour les besoins du tournage. Son choix était - à l a base - bien évidemment pas innocent, représentant un mélange de cultures au coeur même du film. L'action prend place durant une période historique particulièrement dense, où le royaume était tiraillé dans un conflit opposant français aux hollandais pour tenter de s'accaparer des terres thaïes. Le fond historique et donc de quelque intérêt - mais le traitement est tout simplement affligeant. Tout comme le côté "messie" de Maneejan, qui prévient les thaïs médusés (et criant et s'éparpillant de tous côtés à chacune de ses surprenantes apparitions) de l'invasion de la culture occidentale prochaine et de l'ultra puissance des américains; "le roi sera la dernière chose, qu'il nous rappellera notre riche passé" annonce-t-elle so(m)brement, abordant le difficile thème de la "colonisation touristique" actuelle, mais ne développant pas bien plus ce difficile thème. Un ultime retournement de situation en toute fin de film rappelle le classique du genre "La planète des singes", mais en bien moins efficace - bref, le twist est tout à l'image du film : d'un bien pâlichon résultat face à l'énormité de son ambition. Le documentariste et (médiocre) réalisateur de films TV Surapong Pinitka aura sans doute beaucoup de mal à convaincre de bienveillants financiers de tout projet filmique éventuel à l'avenir...

27 février 2006
par Bastian Meiresonne


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